Everybody knows... it?
J’adore Florent Vollant.
Et je pose la question sans arrière-pensée après avoir entendu cette entrevue.
Pourquoi, après avoir repris la chanson de Leonard Cohen et choisi d’en faire une chanson d’affirmation identitaire du peuple innu, une superbe interprétation, Florent Vollant n’a pas été taxé d’appropriation culturelle et mis au pilori, plutôt deux fois qu’une, comme Robert Lepage, avec Kanata et Slav.
Épargnez-moi les règlements de compte et prenez ma question pour ce qu’elle est : une question.
Marielll
Parce que le terme de l'appropriation culturelle désigne l'utilisation d'éléments de la culture d'une minorité par les membres d'une culture « dominante ». Or donc, un Amérindien (minorité) qui s'approprie la culture de la majorité dominante (un blanc), ne commet pas le grave crime de l'appropriation culturelle.
RépondreSupprimerMais si Cohen avait chanté Vollant, il aurait été taxé d'appropriation culturelle.
En veux-tu de la bullshit, en voilà !
C'est un argument que j'ai entendu lors de l'entrevue sur le sujet à Tout le monde en parle. C'est la positipn des Autochtones. Par contre, il y a une chose qui me questionne... c'était une entrevue avec Florent Volant et pourtant, pour faire la promotion de l'entrevue, c'est une photo de Leonard Cohen que Radio-Canada choisit. Si ça avait été une entrevue avec Daniel Bélanger, est-ce qu'on aurait fait le même choix?
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