Ah, la tabârnacle!
Je me lève le matin, elle est là. Je me couche, elle est là. Je dors, elle me réveille. J'essaie de la semer. Rien à faire, elle me suit comme un boulet. Elle me nargue. Elle me prive de mes marches quotidiennes. Elle me pompe l'air. Je me drogue. Je me dis qu'elle va comprendre que sa présence m'est insupportable. Ben non, toi! Elle ne comprend rien, ni du cul, ni de la tête! Elle persiste... la douleur!
La salope!
Mais pas question de lui céder du terrain, je ne suis pas sans ressource, je trouverai bien le moyen de m'en défaire, d'avoir le dernier "maux". Ce n'est pas quelques nerfs coincés au niveau de la colonne qui vont régir ma vie.
Parole de Marielll
Ayoye ! Bonne fête quand même !
RépondreSupprimerJe t'appelle ce soir.
RépondreSupprimerPôv’ toué. Bisous.
SupprimerOui Pôv moé!!!! Bisous itou.
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