Le 8 mars dernier...

C'était la Journée internationale des droits des femmes. 

Je l'ai passée sous silence. 

Un des premiers droits des femmes étant le droit à la vie, je me disais qu'après cinq féminicides au Québec dans les 30 jours précédents, qu'il n'y avait rien à célébrer. 





D'aucuns diront que j'ai tort. Que les raisons de célébrer quand il est question des droits des femmes sont multiples, notammant en ce qui regarde l'employabilité au féminin. 

Je pourrais partir à la recherche de statistiques sur l'emploi au féminin au Québec, mais, au cours des prochaines semaines, j'aborderai plutôt la question sous l'angle chronologique et anecdotique des emplois que j'ai occupés depuis bientôt 50 ans.

Je me lancerai au cours des prochaines semaines dans la description  de mes contextes d'embauche, des emplois occupés, étudiants et réguliers, et de quelques situations révélatrices d'une époque pas nécessairement révolue, de changements survenus et, aussi, de reculs observés. 

Vous serez surpris. Vous serez choqué, peut-être. Amusé, j'espère.

Plusieurs auront l'étrange impression de déjà vu, de déjà vécu et pas seulement les soixantenaires.

Marielll










 



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