Moi, Marielle Langlois, je dénonce...


Photo de Marielle Langlois prise en 2018 dans l'entrée d'un hôpital.
                                                                                 
Tu dénonces les intimidateurs
Il/Elle dénonce les abuseurs
Nous dénonçons les harceleurs
Vous dénoncez les arnaqueurs
Ils/Elles dénoncent les violeurs

Pour toutes sortes de raisons, raisons qui nous appartiennent,
on peut choisir de dénoncer ici et maintenant.
On peut aussi attendre 2 ans, 10 ans, 20 ans pour dénoncer.
Le temps que la peur ne nous paralyse plus.
Le temps de s'affranchir de la douleur.
Le temps de recoller les morceaux.

Tu dénonces, il dénonce, nous dénonçons, vous dénoncez, ils dénoncent.

On peut dénoncer sur toutes les tribunes une situation qui nous interpelle, comme par exemple le manque de ressources dans le réseau des CHSLD au Québec ou encore de mauvais traitements dans un centre hospitalier en France (Photo associée à l'article - Collection personnelle - Octobre 2018, France)

Dénoncer une situation, c'est une chose. Ça permet à une société de se remettre en question et d'apporter les changements nécessaires.

Dénoncer un individu sur les médias sociaux, sous le couvert de l'anonymat, c'est autre chose. 

La dénonciation d'un acte répréhensible, criminel commis par un individu se fait à la police et doit emprunter le réseau de la justice et non pas celui des médias traditionnels, des médias sociaux et, encore moins le tribunal de la rue.

Moi, Marielle Langlois, je dénonce haut et fort la dénonciation ANONYME dans les médias traditionnels ou sociaux.

Pourquoi?  Parce que. 

C'est ce que me répondait mon père quand une chose est évidente par elle-même et se passe de toute argumentation.

Parce que.

Juste parce que.

Marielll





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